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Sérénité numérique et PME

La transition numérique dans les entreprises : freins et attentes des PME

Konica Minolta, fournisseur de solutions et services informatiques aux TPE – PME a annoncé la publication de la 1ère édition de son Baromètre de la Sérénité Numérique. Une grande enquête* menée par l’institut Occurrence sur la perception de la transition numérique au sein des PME françaises. Les principales statistiques à retenir.

Sur les 503 dirigeants d’entreprises interrogés, 67% d’entre eux perçoivent la transition numérique comme une opportunité.

Mais, il subsiste plusieurs craintes et obstacles.  

  • 72% des décideurs craignent le piratage,
  • Pour 54%, le coût financier est un frein,
  • Enfin, 46% déplorent le manque de compétences et 45% soulignent le côté chronophage de la tâche.

A noter que la formation du personnel est la source de stress la plus importante pour presque ⅓ des personnes interrogées.

Les priorités face à la transition numérique

Face à ces constats, les priorités pour atteindre la sérénité numérique sont établies.

  • 34% des PME place la formation en tête de la liste des priorités.  
  • Pour 28% la sécurisation des accès à distance est aussi définie comme un dossier prioritaire, ainsi que le développement des logiciels pour 23%, la mise à jour des processus ERP (24%) et la gestion documentaire (22%).

Interrogés sur leurs ressources, 87% des PME expliquent faire appel à des prestataires externes.

Ainsi, l’accompagnement des partenaires s’avère un élément principal pour mener à bien ce changement.

  • Le partenaire informatique est pour 88% des répondants, le plus apte à opérer l’accompagnement vers la transformation digitale, carrément plébiscité dans le secteur de l’industrie (93%).

La transition numérique apparaît comme un enjeu stratégique pour les PME. Les obstacles sont identifiés, et l’accompagnement par des experts externes est une nécessité pour la majorité des décideurs. 

* Enquête menée par téléphone du 11 avril au 9 mai auprès d’un échantillon de 503 répondants. Marge d’erreur maximale pour un échantillon de 503 répondants = ± 4,4 points à 50%. Tris croisés : sur les questions de profil : sexe, âge, secteur d’activité, fonctions / fonctions techniques et administratives, taille d’entreprise