Dans la deuxième édition de son rapport Global Print 2025*, Quocirca oppose le point de vue des salariés et des directeurs informatique sur le futur de l’impression.
Impression et environnement de travail
- 65 % des décideurs informatiques pensent que le papier sera toujours important sur le lieu de travail d’ici 2025, contre seulement 36 % des employés.
- 62 % des salariés considèrent l’investissement dans les outils de collaboration numérique comme une priorité, contre 45 % des décideurs informatiques.
Impression et durabilité
- 83 % de tous les répondants s’attendent à ce que la durabilité soit très importante pour leur entreprise d’ici 2025.
- 52 % des décideurs informatiques déclarent que la réduction de l’impact environnemental est le défi numéro un auquel ils sont confrontés en matière de gestion de l’impression, dépassant la réduction des coûts et la sécurité.
- 57 % des personnes interrogées s’attendent à ce que les fournisseurs de solutions d’impression adoptent une position de leader en matière de développement durable d’ici 2025.
Impression et cloud
- Les organisations s’attendent à ce que 66 % de leur main-d’œuvre soit mobile d’ici 2025.
- De plus en plus d’organisations tirent parti de la gestion de l’impression basée sur le cloud, 73 % d’entre elles prévoyant d’augmenter l’utilisation d’ici 2025.
Rôle des fournisseurs d’impression
- 58 % des personnes interrogées ont déclaré que les fournisseurs d’impression doivent devenir un partenaire stratégique pour les décideurs informatiques.
- 49% des répondants pensent que cela sera très important pour les initiatives de transformation numérique en 2025.
- Un quart des personnes interrogées estimaient que les fournisseurs d’impression devraient investir dans l’impression cloud pour accroître leur pertinence sur le lieu de travail.
Les fournisseurs d’impression doivent donc anticiper le passage continu à la gestion de l’impression basée sur le cloud et être prêts à élaborer des messages forts autour de la durabilité.
* Les résultats de l’enquête sont basés sur les réponses de 650 décideurs informatiques et 975 salariés aux États-Unis et en Europe.