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le travail hybride

Moins d’1 bureau sur 5 a investi dans le travail hybride

En France, le manque d’investissement dans le travail hybride menace de faire échouer le retour au bureau des salariés.

L’étude, réalisée par Opinium pour Ricoh Europe, auprès de 500 employés en France, souligne un faible investissement dans le travail hybride. De même, des environnements de travail collaboratifs inadéquats empêchent la mise en place de modes de travail flexibles.

  • Moins d’1 salarié sur 5 (18 %) déclare que son lieu de travail a mis en place une politique de travail hybride.
  • 1 collaborateur sur 5 (22 %) déclare que le nombre d’espaces de collaboration dans son entreprise a diminué.
  • Plus de 2/3 des personnes interrogées (70 %) estiment que les employés devraient choisir de revenir ou non au bureau en 2022.
  • Presque 2/3 (64 %) des employés estiment que leurs employeurs sont davantage convaincus de leur capacité à rester motivés et productifs lorsqu’ils travaillent à distance, soit une augmentation de 18 % par rapport à une étude similaire réalisée en 2021. 

« L’étude montre que les dirigeants ont fait d’énormes progrès pour instaurer une confiance envers leurs salariés. Créer un lieu de travail qui adopte réellement le travail hybride est la prochaine étape essentielle. Investir maintenant est un investissement pour le futur qui permettra d’améliorer la productivité et aidera à garder les talents. »

David Mills, PDG, Ricoh Europe

Au moment où les restrictions s’assouplissent, fournir les bons outils de coopération afin de favoriser le travail hybride est nécessaire. Autrement, cela risque de créer un écart d’expérience entre ceux qui travaillent au bureau et ceux qui travaillent à distance. Les dirigeants doivent donc trouver un équilibre entre les préférences de leurs collaborateurs et les besoins de l’entreprise, au moment de mettre en place des politiques de travail hybride.